Installer des composteurs partagés
Quels bénéfices pour vous ?
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Ce que disent nos clients
Le choix s’effectue en fonction de la quantité de biodéchets à composter et des espaces disponibles.
Les modèles à plusieurs bacs permettent d’optimiser la fabrication du compost.
Pour un fonctionnement correct, veillez dans tous les cas à disposer d’un bac de broyat à proximité du bac dans lequel vous mettez les biodéchets.
Apis Mellifera développe une gamme complète de composteurs pour répondre à tous les besoins (professionnels et particuliers) mais pourra également vous proposer des bacs standards fabriqués en France dans différentes tailles.
Pour les projets collectifs (compostage en établissement scolaire, compostage de restaurant, compostage partagé), l’étude permet d’optimiser les choix et de ne rien oublier :
Pour réussir un projet familial, nous vous conseillons de réaliser une petite étude afin de choisir correctement le modèle de composteur, trouver l’emplacement idéal, et chercher comment se procurer du broyat.
A partir de 50 € pour un bac de compostage en plastique à usage familial.
Les meilleurs composteurs disposent de plusieurs bacs et sont fabriqués en bois. Les prix varient selon la taille du composteur, la solidité, la durabilité et la facilité d’utilisation.
Pour un compostage collectif, prévoyez aussi l’achat d’une étude-diagnostic, de petit matériel et de panneaux d’affichage.
Prévoyez également un budget de fonctionnement pour assurer la pérennité du projet, avec un suivi réglementaire et de qualité avec un Maître composteur, des retournements assurés par un professionnel, la fourniture du broyat, même si vous comptez sur des référents bénévoles.
Les causes les plus fréquentes sont :
Pour qu’un compostage marche bien, il faut en effet mettre en place une dynamique et une articulation complète pour que tous les aspects soient correctement traités.
Nous pouvons revoir avec vous le site de compostage et son fonctionnement afin de le rendre plus efficace et d’en faire un véritable outil de votre stratégie de prévention des déchets.
Vous pouvez vendre votre électricité à un tarif d’achat avantageux ou percevoir une prime à l’investissement, dans le cadre de l’arrêté tarifaire du 9 mai 2017.
Vous pouvez en outre dans certains cas bénéficier d’un taux de TVA intermédiaire ou pour certaines entreprises d’une exonération d’impôt.
Certaines régions proposent une aide complémentaire, en général pour des projets pour lesquels la rentabilité financière est faible (autoconsommation, projets citoyens, etc.).
Attention aux commerciaux qui vous proposent de rajouter des panneaux, les remplacer par de nouveaux plus performants, remplacer l’onduleur par des micro-onduleurs (et autres arnaques).
Toute modification de votre installation doit faire l’objet d’un signalement à Enedis et à EDF Obligation d’achat solaire. Dans certains cas, cela peut remettre en question les contrats précédemment signés (le tarif d’achat).
Prenez conseil auprès de nous pour connaitre les meilleures possibilités en fonction de votre installation. Nous pourrons aussi réaliser les démarches administratives complexes obligatoires pour toutes les modifications.
La réglementation actuelle vous permet de choisir entre :
Dans tous les cas, des démarches administratives complexes sont à réaliser.
Nous vous conseillons d’établir un comparatif technique et financier avant toute signature de devis. L’autoconsommation présente une rentabilité financière faible voire nulle dans la plupart des cas.
Nous pouvons vous conseiller sur les meilleures possibilités en fonction de votre projet (surface de panneau, raccordement électrique du bâtiment), et réaliser les démarches administratives qui sont différentes mais obligatoires dans tous les cas.
Au-delà des enjeux réglementaires (paquet Climat) visant à limiter le réchauffement climatique, une stratégie de transition représente un outil efficace et pertinent pour améliorer la qualité de vos infrastructures et du cadre de vie.
Vous pouvez créer de la richesse grâce à un territoire résilient qui implique les citoyens.
Pour conserver leur attractivité, les entreprises et les collectivités doivent passer d’une forte empreinte écologique à une « forte productivité environnementale ». Elles peuvent le faire grâce à des mesures comme :
La mobilisation des citoyens et des différents acteurs économiques dépend, en grande partie, de l’exemple donné par les collectivités. Dans le cadre de la transition énergétique et environnementale, c’est l’articulation des savoirs opérationnels et stratégiques, et donc des outils et des échelles d’action qu’il faut parvenir à mettre en œuvre pour mener à bien les projets visant aux changements de comportement.
Le Plan Climat Air-Énergie Territorial (PCAET) est un outil qui permet aux collectivités de prendre en compte la problématique climat-air-énergie autour de plusieurs axes d’actions :
Le PCAET doit contenir un diagnostic, une stratégie territoriale, un plan d’actions, un dispositif de suivi et d’évaluation des mesures initiées
Apis Mellifera, expert en accompagnement du changement, vous aide à élaborer la feuille de route adaptée à votre collectivité, déclinée en mesures d’adaptation climatique systémiques ou incrémentales, vertes, grises, ou douces.
S’il n’est pas possible de limiter le réchauffement, notre mode de vie sera drastiquement modifié par la canicule, la sécheresse, les nouveaux régimes de précipitations et les catastrophes provoquées par les tempêtes. En de nombreux endroits, c’est déjà le cas.
Les mesures visant à limiter le changement climatique entraîneront elles aussi des changements de mode de vie. Ces changements peuvent cependant être planifiés et décidés ; ce ne sera pas le cas des catastrophes et des mesures d’urgence.
Et il n’y a aucune raison de penser que le mode de vie dans un monde respectueux du climat sera pire que le nôtre aujourd’hui. Au contraire, le rapport spécial du GIEC sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °C, publié en octobre 2018, montre que les effets d’une politique climatique ambitieuse sur les objectifs de développement de l’ONU (réduction de la pauvreté, de la faim et autres) seront majoritairement positifs.
La technologie sauvera-t-elle le climat ?
Le progrès amène de toute façon une technologie plus efficace et de nouvelles énergies. Ne suffit-il pas de laisser jouer le marché ? Non, car la technologie ne nous sauvera pas. Elle est toutefois un facteur important. Les avancées technologiques se produisent toujours dans certaines conditions politiques. Ce que l’on appelle la dépendance au sentier empêche souvent les nouvelles techniques de percer alors qu’elles seraient avantageuses. Face à la crise climatique, une transformation technologique est nécessaire. Les conditions pour cela doivent être créées par la politique.
Source gpclimat.ch
L’adaptation au climat désigne la prise de mesures destinées à gérer les incidences du changement climatique en réduisant la vulnérabilité et l’exposition aux effets néfastes et en tirant parti des avantages potentiels. Elle prend place à l’échelon international, national et local. Les autorités et les entités sous-nationales, y compris les municipalités de grandes agglomérations et du monde rural, sont essentielles pour développer et renforcer les mesures de réduction des risques liés au temps et au climat. L’adaptation se heurte à plusieurs obstacles, dont le manque d’informations récentes et pertinentes à l’échelle locale, l’insuffisance de financement et de technologie, les valeurs sociales, les attitudes et les limites institutionnelles (degré de confiance élevé). L’adaptation est plus à même de contribuer au développement durable quand les politiques sont alignées sur les buts d’atténuation et les objectifs d’élimination de la pauvreté (degré de confiance moyen).
Source GIEC
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